« La brève lecture évangélique qui suit contient en abrégé toute l’histoire de l’Église, la somme de ses droits, sa mission dans le monde. Euntes docete : c’est l’affirmation de sa libre puissance d’enseigner partout la loi évangélique, indépendamment du pouvoir civil ; baptizantes : c’est l’autorité de paître les fidèles avec les divins Sacrements, dont le baptême est comme la porte ; docentes servare omnia quæcumque mandavi : c’est la puissance législative et judiciaire de l’Église, sans laquelle il n’y a pas d’autorité véritable ; ego vobiscum sum usque ad consummationem sæculi : c’est l’assurance de l’indéfectible assistance de la vertu divine jusqu’à la fin des siècles. (Matth., XXVIII, 16-20.) »
Dom Parsch fait allusion à ce passage de l'évangile :
« Mt 28,18. Et Jésus, S'approchant, leur parla ainsi:
Toute puissance M'a
été donnée dans le Ciel et sur la terre.
Mt 28,19. Allez donc, enseignez toutes les nations,
les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit,
»
Or la mozette, refusée par Bergoglio, symbolisait
le pouvoir de juridiction sur le fidèles
(le pouvoir de dire
le droit). Peut-on, au nom de l'évangile, renoncer à un pouvoir évangélique ou du moins ne plus en arborer les symboles ?
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