Monsieur Ghisoni publie un article bien venu sur le gouvernement Hollande.
Voici la péroraison de ce discours polémique :
« Alors, le peuple est dans la rue. Il ne vous veut plus, toutes générations confondues, le peuple des vivants, le peuple de l’honneur, le peuple qui refuse la mise en vente des ventres, la foire au fric du foutre, les enfants aux enchères, le viol de la filiation. Et si vous voulez donner vos CRS et autres, pour défendre votre pseudo-mariage « gay » dont les homosexuels lucides ne veulent pas, à la première goutte de sang versé vous aurez gagné devant l’Histoire votre surnom de président trou de balle.
Dégagez avant cela. Vous ne resterez que comme fromage à pâte molle. Ce n’est pas glorieux, mais c’est mieux que rien.
Alors, ou ça passe, ou ça casse ! Et dans le pire des cas, nous ferons sécession. Sécession de notre travail, de nos ressources, de notre professionnalisme, de nos comptes bancaires et de nos personnes.
De toute façon, Hollande, vous avez déjà perdu. »
Ce n'est pas à coups de matraques et de gaz cancérigène balancé en pleines figures des enfants (baptisés « dangereux terroristes » par les médias aux ordres) que le gouvernement et les députés et sénateurs résoudront la question. Je suis étonné de l'ampleur du mouvement. Le gouvernement a perdu le contact (à supposer qu'il l'aie jamais eu) avec le peuple. Il lui reste une solution : la porte.
La loi Taubira est inconstitutionnelle, comme j'en ai repris la démonstration (d'un constitutionaliste) sur ce blog (cette loi est contraire aux principes généraux du droit français constitutionnalisés par l'article 1er du préambule de la constitution de 1946 repris par la constitution de 1958). Violer la constitution en matière grave et cyniquement, c'est violer la liberté du peuple. Mais de plus cette loi est contraire aux droits universels de l'homme en le droit au mariage (article 16 de la Déclaration de 1948). En ôtant l'institution du mariage des lois laïques, l'État ne protège plus les droits fondamentaux de l'homme.
Vive la liberté du peuple, vivent les droits de l'homme !
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