15.4.13

Comme pour l'avortement, comme pour le divorce la destruction du mariage ne sera jamais acceptée

Les droits de l'homme supposent la liberté religieuse et culturelle des peuples.

Ceux qui ont imposé en France le divorce, l'avortement qui s'apprêtent à imposer la destruction du mariage naturel catholique et français en vue de l'instauration de la polygamie (le "mariage" homosexuel n'est qu'une étape, un prétexte) s'imaginent que le peuple français finira par accepter ces reculs de civilisation.

Je constate qu'ils prennent leurs désirs pour des réalités. Je n'aurais jamais cru cela possible et pourtant des mères de famille, des pères de familles, des enfants sont martyrisés par Manuel Gaz et sa police, par monsieur Hollande et sa magistrature aux ordres. Ils risquent leurs carrières, leurs santés et peut-être leurs vies pour l'ordre public et la liberté française. On ne peut constater ce martyr de la liberté dans aucun autre pays à qui a été imposé (la plupart du temps par la corruption) le prétendu "mariage homosexuel".

La France, pays catholique et des droits de l'homme, pays laïque (ne nous y trompons pas le Pape, alors qu'il était archevêque de Buenos Aires, s'était attaqué avec ironie et persifflage aux manifestants favorables aux droits de l'homme. Je l'ai montré sur mon blog ; c'est pourquoi depuis l'élection du Pape Bergoglio - selon une expression en usage en Italie - l'épiscopat français se tait), pays de l'ordre public universel et français a décidément un rôle universel.

Il le tiendra malgré le clergé catholique et au nom des droits universels de l'homme et de la liberté laïque et française. Les droits de l'homme sont perpétuels personne ne pourra jamais faire que ceux-ci soient oubliés.

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