Voici ce que l'on peut lire sur un médicament, prescrit depuis 1969 :
« Au cours de la période, 1616 effets indésirables (648 graves) ont ainsi été répertoriés, dont la moitié sont des effets cutanés. Onze décès ont été recensés. Outre des effets cutanés, l'ANSM [Agence nationale de sécurité du médicament] signale des effets neurologiques et psychiatriques. »
L'article est (volontairement ?) peu clair. Toutefois il semble évident que l'enquête (on suppose auprès des médecins encore en exercice...) ne peut être exhaustive.
Il s'agit du "Tétrazépam", mais aussi très probablement d'autres médicaments commercialisés sous d'autres noms et contenant la même molécule. Nous n'en saurons pas plus.
Je constate que l'article de Mytf1 news, passe très rapidement sur les effets "neurologiques et psychiatriques". On n'en saura pratiquement rien. Cela pourrait donner l'idée aux victimes d'aller demander des comptes devant les tribunaux aux prescripteurs, distributeurs et producteurs de cette drogue.
On pourra constater que pendant 44 ans les laboratoires ont fait de l'argent en rendant leurs clients malades (dont des maladies psychiatriques). 44 ans plus tard, alors que le « médicament » a assuré d'amples profits... en même temps que des maladies à ceux qui le consommaient, l'ANSM se réveille...
Même au niveau de la santé publique, même en dehors des contraceptifs, abortifs etc., nous ne sommes pas dans un État de droit. La responsabilité de l'État pourrait être mise en cause dans toutes ces affaires de médicaments dont émane une forte odeur de pourri.
Même au niveau de la santé publique, même en dehors des contraceptifs, abortifs etc., nous ne sommes pas dans un État de droit. La responsabilité de l'État pourrait être mise en cause dans toutes ces affaires de médicaments dont émane une forte odeur de pourri.
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