Outre les autres arguments parfaitement valables de l'"European Center for law and justice", il reste que s'il y a droit d'être assassiné, il y a un devoir d'assassiner (un droit impliquant un créancier et un débiteur).
Cet arrêt disqualifie donc la Cour européenne.
Mais elle l'est déjà sur de nombreux points puisqu'elle refuse de reconnaître un droit à la vie pour l'embryon et le fœtus.
« Dans l’arrêt Koch [du 18 juillet 2012], la Cour avait franchi une nouvelle étape en condamnant l’interdiction de principe du suicide assisté en vigueur en Allemagne, en estimant qu’une juridiction doit pouvoir juger, au cas par cas, du bien fondé des demandes individuelles de suicide. »
Elle avait donc déjà institué un devoir d'assassinat pour
les juges et une obligation pour le législateur de prévoir des cas d'assassinats (il le fait déjà pour l'avortement).
L'arrêt du 14 mai 2013 n'est pas définitif et peut être déféré à la "grande chambre". Il n'en reste pas moins que la Cour fonctionne au rebours de ce pourquoi elle a été instituée.
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