Les « débordements » de la police en civil le 24 mars

http://illwieckz.net/journal/Avis_de_recherche

Très important, à lire absolument. Signalé par le site "altermedia".

La police en civil attaque les manifestants sans sommation et sans raison plausible.

Au téléphone, ils appellent les CRS et l'un d'entre eux, le chef évidemment, crie :

"Empêchez-les d'arrêter nos gars !"

Qu'ont ils fait pour craindre ainsi la foule ? Se sont-ils attaqués à des enfants et des parents en colère veulent-ils leur demander des comptes ?

Nous ne sommes vraiment pas dans un État de droit quand la police se comporte en bande criminelle.

On voit sur le blog un policier utilisant sa gazeuse. Le fait-il pour protéger les recrues parallèles ou sans aucune raison, par sadisme ?

Le blog de monsieur Thomas Debesse énonce une série de questions :

• «Pourquoi les policiers se sont-ils affolés tout d'un coup  ?
• Pourquoi ont-ils craint pour leur sécurité au point de s'agiter au risque de dévoiler leur couverture  ?
• Qui crie « empêchez-les d'arrêter nos gars » ?
• Qui les a repéré, comment ?
• Qu'ont-ils fait  ?
• Pourquoi être déguisé ainsi  ?
• Quelle était leur mission, a-t-elle échouée ? a-t-elle réussi  ?
• Qui est cet homme emmené  ? Pourquoi ? Est-il vraiment emmené  ?
• Pourquoi les policiers ont-ils peur de la foule qui les découvre, alors qu'ils sont censés protéger la foule  ?
• Pourquoi ont-ils dévoilés leur couverture, préférant le risque d'un conflit armé à découvert plutôt que la sécurité du camouflage  ?
• Pourquoi les policiers ont-ils eu si peur  ?
• De quoi les policiers avaient-ils peurs  ? »

Y avait-il dans la foule des employés de Manuel Valls qui ont échappé au contrôle des fonctionnaires ? Cela  nous ramène des dizaines d'années en arrière, lorsque le gouvernement et sa police recrutaient et employaient des truands pour lutter contre la population d'Algérie par la torture, par le vol, par les enlèvements.

Dans ce cadre, les grandes envolées de madame Fourest et consorts contre les "gudards" auraient été préparées par l'État (Manuel Valls) et sa police dès avant le 24 mars. Car, pour que les envolées aient quelques prétextes, il fallait au préalable leur donner un peu de matière. C'est ce qu'auraient fait les barbouzes et, plus grave encore, la police fonctionnarisée. Pour l'instant, il ne semble pas que la justice de madame Taubira ait même commencé une simple enquête.

Cette affaire est à rapprocher de l'affaire Piss-Christ dont j'ai déjà parlé sur ce blog en émettant l'hypothèse que dans cette affaire des innocents sont poursuivis pour des actes commis par des barbouzes à la solde des autorités. La "justice" du régime fait semblant de n'y rien comprendre...