18.2.15

Des preuves qui n'en sont pas



Via François Desouche.

Ces preuves, évidemment non-discutables contradictoirement puisque les intéressés sont morts, ne prouvent strictement rien. Elles "prouvent" qu'ils échangeaient quelques SMS et que Coulibaly (du moins un de ses portables) était à Gennevilliers la veille des attentats. Tu parles de preuves !

Pourquoi cet acharnement à faire croire au bon peuple à des preuves qui n'existent pas ? Curieuse, aussi l'imputation de "complotisme" ! Car cette imputation vise à interdire de soutenir que ces "preuves" n'en sont pas. Curieuse enfin l'unanimité des acteurs officiels dans cette affirmation mensongère.

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