Les 67 gardés à vue du mois de mars ont été torturés dans un commissariat avec la complicité d'une « magistrate » (magistrate politique du pouvoir socialiste, probablement sympathisante du "Syndicat de la magistrature"). Ils étaient entassés à 21 dans une pièce de 25 m2 pendant des heures sans aération et pendant la nuit sans couchette. (voir mon post sur cette affaire et sur un autre acte de torture impuni, voir aussi mon post sur l'agression sexuelle dont se rend coupable un policier contre une femme)
Cela continue au mois de mai, au vu et su des magistrats français complices. Selon le Salon beige, des personnes ont été arrêtées arbitrairement sur les Champs Élysées et, les deux sexes confondus, mises dans un bus sans lumière en pleine nuit. Ce sont des souffrances morales cruelles infligées sadiquement. Ce sont aussi des méthodes subtiles de tortures sans traces.
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