Un texte particulièrement pertinent trouvé sur le site "jesusmarie.com" :
« Prévoir froidement de priver un enfant d'un père ou d'une
mère est contraire aux droits de l'homme et à l'égalité de dignité entre les
citoyens
Procréer un enfant en lui interdisant de connaitre son
origine paternelle ou maternelle est contraire aux droits de l'homme et à
l'égalité de dignité entre les citoyens.
Mentir à un enfant en lui disant qu'il est le fils ou la
fille de deux hommes ou de deux femmes est un traitement dégradant, une
violence qui lui est faite en violation des droits de l'homme.
Aucune personne humaine ne peut être procrée pour servir
d'objet ou pour être utilisé par une autre personne.
L’enfant adopté par deux hommes ou deux femmes sera doté
d’éducateurs, d’adultes référents, mais en réalité deux fois privé de parents :
une première fois par la vie, une seconde fois par la loi.
Le projet de loi organise donc un marché des enfants, car il
le suppose et le cautionne. En l’état, ce texte invite à aller fabriquer les
enfants à l’étranger, en attendant de dénoncer l’injustice de la sélection par
l’argent pour organiser le marché des enfants en France, ce qui sera de toute
façon imposé par la Cour européenne des droits de l’homme dès que le mariage
sera voté.
Ce texte doit donc être retiré car les enfants ne sont ni
des objets pour satisfaire un désir, ni des médicaments pour soulager une
souffrance.
Les juristes (...) ne peuvent que demander aux sénateurs de
protéger les femmes et les enfants contre un texte qui, sous couvert de bonnes
intentions, se révèle celui de l’esclavage moderne des femmes et de la nouvelle
traite des enfants
200 professeurs de droit rentrent en résistance face au
projet de loi Taubira. Aude Mirkovic et Guillaume Drago, à l'origine de cette
initiative, sont respectivement maître de conférence à l'université d'Evry
Val-d'Essonne et professeur à Paris 2-Panthéon-Assas (voir lefigaro.fr) »
http://jesusmarie.free.fr/index_non_au_mariage_homosexuel.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire