Les pères demandent pour leurs enfants le respect de la loi par la magistrature

«Le père est exclu de la vie des enfants»

Huit pères et une mère se sont retranchés (lien vers l'article du 9 mai du Parisien) en haut de la cathédrale d'Orléans. Voici leurs revendications : 

«Nous réclamons que le droit des enfants à leurs deux parents soit respecté par la justice», déclarait en début d'après-midi Jean Le Bail, qui assure ne plus avoir de nouvelles de sa fille depuis 2008. «Un an après la séparation des parents, il y a 30% des enfants qui ne voient plus le parent à qui ils n'ont pas été confiés», a-t-il expliqué. «Et dans 80% des cas, c'est le père qui est exclu de la vie des enfants», a-t-il poursuivi. «C'est une violation de la convention internationale des droits de l'enfant dont la France est signataire».

C'est aussi une violation du droit directement interne protégé par des dispositions pénales de la non représentation d'enfants (article 227-5 du code pénal). Ces droits sont ceux des enfants et du parent aliéné.

Le hic, c'est que le droit n'est pas respecté par la magistrature, donc indirectement responsable. Les psychologues américains ont démontré que le seul moyen d'empêcher la mise en place du syndrome d'aliénation parental est de menacer le parent aliénant de prison et de l'y envoyer éventuellement. J'ai posté sur ces drames démontrant l'irresponsabilité des magistrats français qui refusent... d'appliquer la loi. (Voir mes posts au mot "aliénation", et celui-en particulier)

Dans l'un d'entre eux, je rappelle ce passage de Gaudium et spes :

52. La promotion du mariage et de la famille est le fait de tous

« 1. La famille est en quelque sorte une école d’enrichissement humain. Mais, pour qu’elle puisse atteindre la plénitude de sa vie et de sa mission, elle exige une communion des âmes empreinte d’affection, une mise en commun des pensées entre les époux et aussi une attentive coopération des parents dans l’éducation des enfants. La présence agissante du père importe grandement à leur formation ; »

C'est pourquoi le parent aliénant et tous ses complices sont non seulement des délinquants indument protégés, mais encore des criminels relativement  à l'éducation des enfants.