31.5.15

Monsieur Cohen toujours relativiste maçon


Conférence d'Alain Soral et Jacob Cohen à... par ERTV

1) Selon monsieur Cohen il ne serait plus franc-maçon. Pourtant, il n’a pas vraiment renoncé au relativisme maçon. Lorsqu’il dit qu’il faut mentir comme un arracheur de dents pour lutter contre "le système"… Cela fait frémir ceux qui se battent pour la vérité et la justice.

Monsieur Cohen prend Frantz Fanon comme maître à penser. Mais il n’est pas possible de fragmenter l’humanité en communautés. Il faut lutter pour les droits universels de l’homme c'est-à-dire unir l’humanité dans la raison et la justice universelles.

2)

D'autre part, la devise du Mossad (Trough deception) est une traduction fautive des proverbes (chapitre 20 verset 18):

« Pr 20,18. Les projets s'affermissent par les conseils, et les guerres doivent être conduites avec prudence. » Traduction Fillion
« 18 Cogitationes consiliis roborantur, et gubernaculis tractanda sunt bella. » (Vulgate)
Dieu ne conseille pas de tromper ses créatures raisonnables. Ce n'est donc pas "par la tromperie" (deception). C'est avec "prudence" que l'on mène la guerre.

Trough deception est probablement une traduction faite sur la version "massorétique". Selon monsieur Daoudal ces prétendus "textes originaux" sont une retraduction moyenâgeuse en hébreux des textes grecs. Cette retraduction serait, selon monsieur Daoudal, une falsification.

La justice politique frappe monsieur Le Lay



(via Nouvelles de France)

Je ne suis pas d'accord, dans le fond, avec monsieur Le Lay, pas plus que je ne suis d'accord avec monsieur Reynouard. Pour monsieur Reynouard je salue son œuvre historique très instructive (bien qu'orientée, elle est instructive: par exemple lorsqu'il révèle - du moins lorsqu'il met en évidence - la lettre hypocrite de Roosevelt de 1940 donnant des ordres au Royaume uni et à la France).

Mais je suis favorable à la liberté, à l'égalité et à la fraternité. Toutes valeurs que les magistrats français proclament pour mieux les bafouer (dans une des affaires Reynouard, ils n'ont pas hésité à inverser, oui, inverser, ses évaluations morales de la politique nationale-socialiste pour condamner leur auteur à la prison).

Dans l'affaire Le Lay les magistrats politiques ont encore frappé, comme ils m'ont frappé et me frappent en me spoliant, voire en me condamnant à une amende dans des conditions scandaleusement injustes. Les magistrats français ont, entre autres forfaits, condamné ma mère de 95 ans à verser 500 000 € de réparations pour un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an, par an, par an. Les magistrats français sont des escrocs.

Monsieur Le Lay est frappé dans sa liberté, c'est pire que de l'être dans ses biens (quoique priver quelqu'un de ses biens, saccager son travail, c'est aussi attenter à sa liberté et à sa santé).

Je salue le courage de monsieur Le Lay, ce témoin de la liberté de l'homme.

29.5.15

Un crime commis ouvertement avec le soutien de la magistrature





Un crime commis ouvertement avec le soutien de la magistrature. Hélas, ce n'est qu'un des crimes commis ouvertement avec le soutien et sous la protection de la magistrature !

La racaille judiciaire veut tuer Vincent Lambert, disons-lui "non !"



Visionnez cette vidéo ! Ce geste sera déjà un soutien et votez pour la défense de Vincent Lambert condamné à mort par les juges épigones de ceux de Nürnberg.

Vincent Lambert fut victime d'un accident de la circulation non-élucidé. Depuis cet accident mystérieux qui, miraculeusement, n'a pas eu sa mort comme suite, il vit mais ne peut plus parler.


Ferdinand


Ma fille Hélène est morte dans un incendie dont la racaille judiciaire n'a pas élucidé ni même tenté d'élucider les causes.

Déploration du Christ (détail) Palazzo Madama Torino (Piémont, Italie)


Aujourd'hui celle qui a un intérêt pécuniaire à la mort de Vincent Lambert a trouvé comme complices les juges français et les "médecins" français.

Aujourd'hui, aux dires de ses parents, Vincent Lambert est torturé par défaut de soin (refus de la kinésithérapie). Ce crime qui est dénoncé publiquement restera impuni.

28.5.15

Les « donneurs » de sperme: un mensonge d'État aux frais de tous

Lu sur Réinformationtv:

http://reinformation.tv/agence-biomedecine-spots-radio-inciter-don-sperme-ovules/

Un article très modéré qui a le tort de ne pas souligner que l'Agence de biomédecine fonctionne avec l'argent de tous au profit d'une idéologie hédoniste. Cette idéologie fait fi de la dignité de l'homme. L'homme n'est pas sur terre pour lui-même, mais pour Dieu, ce qui lui donne sa dignité (destinée transcendante). L'homme n'est pas de l'ordre de l'utile. On ne peut donc procréer en dehors de l'acte conjugal voulu par Dieu.

C'est donc en contradiction flagrante avec les droits de l'homme fondés sur sa dignité que l'Agence de biomédecine diffuse ces spots publicitaires avec l'argent de tous. D'ailleurs, même avec l'argent privé, elle ne pourrait pas diffuser ces spots dans un État de droit. Car laisser diffuser ce message bafoue la raison universelle de l'homme.

Qu'est-ce que l'État français sinon une bande au service du vice et du crime ?

En marge de cette affaire, je rappelle que statistiquement les enfants nés par fécondation in vitro ne jouissent pas d'une bonne santé.

Robert Chardon, la piste du secret défense, ou la piste des Tueurs de la République ?

Lu sur Riposte laïque (via Le Salon beige): Robert Chardon, chef d'entreprise et homme politique a disparu sans laisser de trace depuis le 15 mai 2015.

On avait au début prétendu qu'il était hospitalisé d'office en psychiatrie. Le préfet l'a démenti. On est donc sans aucune nouvelle de cette personnalité.




Dans un pays où une équipe de tueurs est aux ordres du chef de l'État, on peut se poser la question de son enlèvement suivi d'un assassinat politique. Ce n'est qu'une possibilité que j'évoque malgré les assurances (sans garantie aucune) que les "Tueurs de la République" n'interviennent jamais en France contre des citoyens français.

Je rappelle que le parquet chargé des enquêtes préliminaires et des poursuites est aux ordres du gouvernement en matière de « politique pénale ». Même si l'article 30 du code de procédure pénale interdit au ministre de la justice d'adresser aux procureurs généraux des instructions sur des affaires individuelles, les procureurs généraux qui ont autorité sur les enquêtes pénales sont nommés... en Conseil des ministres (selon wikipedia le gouvernement suivrait toujours l'avis du Conseil supérieur de la magistrature qui cependant est lui-même très politisé). D'autre part, on ne peut que constater que la publication du livre Les Tueurs de la République n'a donné lieu à aucune enquête criminelle. Il est donc vain d'espérer, comme cette expérience le prouve, que le parquet agisse si cela doit faire de la peine au gouvernement.

La "séparation des pouvoirs" n'existe pas pour les affaires "sensibles"... et même pour les autres. Exercer ces hautes fonctions dans de telles conditions est déshonorant pour ceux qui les exercent.

De plus, monsieur Chardon est (était ?) un homme de droite, voire d'extrême-droite. Il ne bénéficie donc pas de la protection des magistrats (presque unanimement à gauche). Ayant été plusieurs fois spolié par les magistrats, je sais d'expérience qu'il y a deux poids et deux mesures selon vos opinions politiques. Les affaires Reynouard, elles aussi, sont là pour nous le rappeler. La France n'est certainement pas un État de droit.

"Ôtée la justice, que sont les États, sinon de grandes bandes de malfaiteurs ?" disait saint Augustin. Qu'est l'État français qui vole l'argent des citoyens pour financer des assassinats (avortements, tueurs de la République...) ?

Mise à jour du 29 mai (via le blog d'Yves Daoudal): la Procureur de la République d'Aix-en-Provence a écrit 

« Je tiens à vous rassurer : Mr le maire de Venelles n’a été ni kidnappé  par des extra-terrestres ni désintégré… Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l’enquête . »

Il n'a donc probablement pas été assassiné par les tueurs du Président de la République (encore que...) Il n'empêche qu'en France on peut rester sans nouvelles d'un homme public sans que le gouvernement ou l'un de ses agents ne donne aucune précision.

27.5.15

Pour financer le "mariage" homosexuel taxons l'entr'aide dit l'UMP

Via Nouvelles de France:





Les pauvres utilisent le co-voiturage. C'est de l'entr'aide. Les passagers paient moins cher, cela coûte moins cher au conducteur.

Les impôts financent les tueurs de la République, les impôts financent les avortements, les impôts financent le "mariage" homosexuel (comme j'ai été le seul, le seul, à ma connaissance, à l'écrire et à le démontrer).

Mais on va taxer les pauvres pour aller payer les traitements fabuleux des hauts fonctionnaires et des politiciens du Parlement.

26.5.15

Madame Wolinski et les incohérences des enquêtes journalistique et judiciaire

Lu dans le Dauphiné (via Nouvelles de France):

« Mais vous saviez tout de même que Charlie Hebdo était dans le collimateur des intrégristes ?
Oui. Mais ce sont des failles dans le système de sécurité à Charlie Hebdo qui ont conduit à ce drame du 7 janvier. D’ailleurs, je mène ma petite enquête de mon côté car j’estime qu’il y a des zones d’ombre dans le déroulé des faits. L’attentat a été commis un jour où tout le monde ou presque était réuni à la rédaction : ça n’arrive jamais mais là, ils avaient prévu de partager une galette des rois et comme par hasard l’attentat a eu lieu ce mercredi et ça n’est pas anodin. Aussi, j’ai noté beaucoup d’incohérences, de différences entre les mesures de protection réelles à Charlie Hebdo et les préconisations de la préfecture de police. Je voudrais aussi savoir pourquoi l’acte de décès de mon mari a été signé à 11 h 30 alors que les frères Kouachi sont arrivés à Charlie Hebdo à 11 h 33. J’ai plein de questions à poser au juge d’instruction dans le cadre de ma contre-enquête. »

Noter la pique aux partisans de la messe traditionnelle de la part du polémiste interviewer.

Il est de vérité républicaine et anti-complotiste que ce sont des musulmans, les frères Kouachi, qui ont tué plus de dix membres de la rédaction de Charlie-Hebdo. Moi qui suis un sale complotiste d'extrême-droite (alors que je ne me considère pas comme d'extrême-droite), je ne crois pas un instant que ce soient les frères Kouachi soient des criminels (présomption d'innocence).

Madame Wolinski affirme que l'"acte de décès" de son mari aurait été signé à 11 h 30. Il s'agit plus probablement, non de l'acte de décès (acte d'état civil), mais du certificat de décès délivré par le médecin légiste... Mais enfin cela reste énorme.



Après Germanwings et l'avion se fichant dans une montagne faite de terre meuble et qui ne laisse aucune trace d'impact, voici le tué qui est mort avant d'avoir reçu les balles mortelles et voici que le médecin légiste se trouve sur place avant même les criminels. Prodigieux !

Dans l'affaire Hélène Merlin, les juges français ont décidé, pour favoriser une des parties, que l'heure du certificat de décès de ma fille Hélène était l'heure de sa mort (alors que c'est l'heure de la constatation de sa mort, évidemment). Je peux fournir copie du jugement rendu par la racaille judiciaire.

Hélène Merlin-Poudré


Tout est mensonges et magouilles dans la France de l'ordre public de Nürnberg.

Le gangstérisme antinazi. Vidéo de Vincent Reynouard



Vidéo littéralement passionnante et combien émouvante ! Les méthodes américano-soviétiques dénoncées par monsieur Reynouard invalident les jugements d'après-guerre et même ceux de 2015. Elles condamnent aussi de Gaulle et le gaullisme et les démocrates-chrétiens.

La violence au service de la diffamation est au centre de la société universelle de 2015.

Je finis par me demander si les jugements très malhonnêtes dont j'ai été victime ces temps-ci (2000-2015), y compris du temps où j'étais avocat (1975-2008), ne sont pas un autre aspect du gangstérisme judiciaire de 1943-2015.

J'ai déjà posté sur les aventures des avocats pour qui la liberté n'est pas un vain mot et de leur impossibilité d'exercer leur profession. J'ai brièvement commenté l'histoire de maître Delcroix. J'ai traité aussi des implications de l'imposition à la TVA des honoraires d'avocat ici et ici. Le silence profond des ordres des avocats et des organisations syndicales avocateuses découvre leur complicité.

Pas d'avocat libres ? Cela implique que certaines personnes ne peuvent même trouver un avocat pour défendre leurs causes. La situation de 2015 est donc pire que celle de 1945 !

Je ne m'étonne pas que les magistrats français veuillent faire taire monsieur Reynouard. Il dénonce leurs actuelles hypocrisie et perversité. N'oublions pas que monsieur Reynouard fut condamné par des juges français au motif que monsieur Reynouard trouvait normaux la déportation et les camps de concentration alors qu'il prend soin de répéter qu'il condamne ces procédés. On mesure ici la valeur morale des magistrats français et l'intérêt de leurs décisions.

Un dernier mot: ce qui s'induit des propos de monsieur Reynouard, c'est que les dispositions de l'accord de Londres du  8 août 1945 lesquelles gouvernent notre quotidien aujourd'hui, sont un bouleversement de l'ordre universel et immuable des droits de l'homme, notamment (mais pas seulement) par la condamnation pénale des personnes morales.

Cette condamnation, introduite dans le code pénal français de 1994, permet de condamner pénalement des personnes physiques, de flétrir leurs réputations, sans même les avoir entendues, sans aucun procès personnel. Quel progrès, l'accord de Londres !

25.5.15

Lundi dans l'octave de la Pentecôte

Je ne sais quel pape contemporain (probablement Paul VI) a "supprimé" l'octave de la Pentecôte. Mais la liberté religieuse et la liberté de conscience jointes à la foi catholique autorisent à considérer cette octave comme toujours en vigueur par une décision raisonnable de la conscience individuelle et éventuellement collective. Cette fidélité est aussi une piété. Une piété à l'égard de nos ancêtres qui ont vécu et prié cette octave pendant des dizaines de générations.

Usant de cette liberté, je propose la traduction d'un extrait de la "séquence" de la messe de Pentecôte:





« Veni, Sancte Spiritus, et emite cælitus lucis tuæ radium
Veni pater pauperum, veni dator munerum, veni, lumen cordium. » 
« Venez, Esprit-Saint, et envoyez du ciel un rayon de votre lumière
Venez père des pauvres, venez dispensateur des dons, venez, lumière des cœurs. »

24.5.15

Pentecôte 2015 Veni Creator

Ps. 67, 2. Exsúrgat Deus, et dissipéntur inimíci eius : et fúgiant, qui odérunt eum, a fácie eius.
Que Dieu se lève, et que ses ennemis soient dissipés, et que ceux qui le haïssent fuient devant sa face.






23.5.15

Il n'y a pas eu de "génocide" vendéen



(via François Desouche et Nouvelles de France)

D'une part cette notion de "génocide" ne peut rien avoir de juridique. Il faudrait dire "assassinats en série".

Les Vendéens se battaient pour leur liberté (religieuse notamment) mais les révolutionnaires n’étaient pas incohérents, ils n'ont donc pas donné l'ordre du tuer la population.

Attention on finira par dire: « mais si vous êtes capables de génocides, d’ailleurs vos ancêtres ont commencé en 1793… C’est vous qui le dites ! » Alors que ce n’est pas vrai. La Convention voulait écraser ses ennemis mais n’a jamais donné l’ordre de tuer tous les habitants.

Ceux qui prétendent que les républicains ont planifié un "génocide" sont bien en peine de citer un texte officiel. Seuls des textes de seconde main (Reynald Secher) prétendent calomnieusement le contraire.

Il faudrait qu'il y ait un ordre écrit d'extermination systématique de la population. Or il n'y a pas de pareil ordre. Il y  a ordre d'exterminer les ennemis de la République, mais toute la population.

Certes les révolutionnaires ne respectaient pas la liberté religieuse, certes les Vendéens se battaient pour leur liberté religieuse.

Certes, il y eut des massacres de la part de révolutionnaires fanatiques mais certains furent punis de mort par la Convention.
Toujours respecter, même en matière historique, la présomption d'innocence et que l'on doit plutôt croire à l'innocence qu'à la culpabilité. La recherche de la vérité doit se faire sur ce principe et non sur le principe inversé de Nürnberg qui envahit jusqu'aux milieux "contrerévolutionnaires".

« Choisis bien ton ennemi, car tu finiras par lui ressembler » selon l'aphorisme de Nietzsche. Les "contrerévolutionnaires" finissent pas employer les méthodes de la propagande communiste.

J'ai déjà posté sur cette question: ici, ici.

22.5.15

La faillite judiciaire française manifestée au nouveau procès d'Outreau



Ceux qui veulent avoir confirmation que bon nombre de magistrats sont des gangsters pourront lire l'article du Figaro sur la nouvelle affaire judiciaire d'Outreau.



Les magistrats (notamment le sinistre Burgaud qui sévit toujours dans la magistrature) qui voulaient se payer du "de souche" n'ont rien trouvé de mieux, lors du procès d'assises de Saint Omer que de ne pas convoquer le policier directeur d'enquête parce qu'ils craignaient son témoignage favorable à l'accusé Legrand ! J'ajouterais au texte du Figaro que le président des assises n'avait pas non plus jugé utile de le faire convoquer. Bonjour l'impartialité messieurs de la magistrature française ! Racaille magistrateuse !

Les magistrats continuent aujourd'hui un procès absurde sur les plaintes d'un malade mental.

Le président François Hollande "gardien de l'indépendance de l'autorité judiciaire" (article 64 de la Constitution). C'est une blague ? Si oui, elle n'est pas drôle du tout.

Photo prise à la Sacra San Michele à l'est de Torino (Italie, Piémont)


Les magistrats français gardien de la liberté individuelle ?

Si, si, je vous assure !

Article 66  de la Constitution :

« Nul ne peut être arbitrairement détenu.
L'autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi. »

Les magistrats français emprisonnent des innocents par fournée entière (voir Outreau et les affaires Reynouard).

La République française a adopté comme texte fondamental la Déclaration des droits de l'homme du 26 août 1789 qui dans son article 17 proclame la propriété "droit inviolable et sacré".

Les magistrats judiciaires seraient les protecteurs de la propriété immobilière (le Conseil constitutionnel distingue là où la Déclaration ne distingue pas)

Protecteurs de la propriété immobilière donc ? C'est ce que le Conseil constitutionnel met au rang des « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » (voir décision n° 89-256 DC du 25 juillet 1989 n° 23). Mais ils ne peuvent garder la propriété privée étant eux-mêmes une bande de gangsters comme le prouve de nombreuses affaires.




Je rappelle, car je l'ai déjà publié sur mon blog au grand dam des gangsters en toges, que ma mère fut, à l'âge de 95 ans, condamnée à verser 500 000 € pour des réparations sur un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an. J'ai bien écrit 2 300 € par an. Je confirme par an. Cette décision de tortionnaires de vieille dame est une décision des magistrats de la Vè République. Moi-même je suis condamné à une amende de 800 € pour avoir voulu défendre mon droit de propriété mobilière et immobilière face des spoliations évidentes. C'est aussi l'œuvre de la magistrature chargée de la « protection de la propriété immobilière ». Ha, ha ! Je pourrais citer d'autres décisions du même genre.

Musée de la Révolution française. Vizille (Isère)


Sont-ils aussi des protecteurs de la réputation ? Je le conteste moi qui suis condamné à une amende pour avoir défendu ma famille à l'occasion de la mort suspecte de ma fille, Hélène décédée le 30 avril 2008 dans l'incendie suspect de sa maison ? Il a fallu la mort de ma fille pour que je sois condamné, à 65 ans, par la racaille judiciaire à une amende par un tribunal judiciaire, même si l'amende est civile.

Outreau n'est qu'un symptôme, une petite résurgence, revenu en pleines figures des magistrats, des eaux d'égout judiciaires faites de haine marxiste, de stupidité barbare et de malhonnêtetés.

20.5.15

Le cancer de Nürnberg s'étend: vers le doublement des délais de prescription ?

Un rapport des députés Fenech (UMP) et Alain Tourret (radical de gauche) soi-disant opposés politiques, rapport soutenu par la Chancellerie de l'illustre madame Taubira veut révolutionner la procédure pénale. Je pense que c'est pour la rendre plus cohérente avec l'ordre public de Nürnberg inséré dans le préambule de la Constitution française et d'autres documents centraux.

Quand on tente de mettre la répression pénale au centre de l'ordre public comme ce fut la cas à Nürnberg et comme c'est le cas du Préambule de la Constitution française, inversant ainsi le but de la société qui est d'abord l'amour et l'entr'aide, il est fatal que cette perversion étende ses effets tous les jours. Les sociétés vont toujours au bout de leurs idées, selon monsieur Reynouard (à la différence de l'individu qui peut se modérer même dans la mauvaise action, s'il n'étouffe pas en lui tout appel de la conscience).

Ainsi un rapport de deux parlementaires à la Commission des lois prône de doubler les délais de prescription et à les supprimer en cas de "crime de guerre", comme ils sont déjà supprimés en matière de "crime contre l'humanité".

Le crime contre l'humanité est une notion absurde née pendant la guerre de 39-45. Cette notion absurde tend subrepticement à sacraliser des victimes et stigmatiser spécialement des coupables, sans, en apparence, renoncer au principe d'égalité, et de fraternité universelles. Une notion incohérente qui, en réalité, fragmente l'humanité.

Il n'existe pas de plus grand crime que l'assassinat. Du "crime contre l'humanité", qui n'a aucune définition stricte, on veut faire un super-crime qui ne renvoi à rien de plus grave que l'assassinat en série. En définitive cette notion absurde est dirigée contre des crimes à mobiles politiques. Le "crime de guerre" qui est un crime commis à l'occasion de la guerre n'est pas pire qu'un crime commis en temps de paix comme un assassinat crapuleux. On pourrait même dire qu'il est moins grave puisque la guerre est un état anormal de l'humanité où il est licite de tuer (sous certaines conditions). Or ces "crimes de guerre" vont, eux aussi, être déclarés imprescriptibles.
Palais de justice de Toulouse

Petit à petit on se dirige vers une suppression de la prescription au nom de la "mémoire", de la haine inextinguible et de la guerre perpétuelle… au nom de l'amour et de la paix. La société aurait pour but principal d'infliger des peines et de flétrir des mémoires. Alors que la peine ne peut être infligée légitimement qu'en cas de nécessité et doit donc, en principe, être évitée.

L'incohérence est au cœur de nos sociétés.
.

Affaire d'Ooutreau la magistrature française se ridiculise une fois de plus

Lu dans le Figaro:

Le compte-rendu du procès de Daniel Legrand devant la cour d'assises des mineurs ne laisse aucun doute sur les sentiments du journaliste: la magistrature se ridiculise une fois de plus.

La magistrature poursuit un homme de 33 ans pour des faits qui se seraient produits alors qu'il était mineur...

On procède à l'interrogatoire de madame veuve Legrand, mère de l'accusé.

« Mme Legrand: «Non. Enfin ses copains l'appelaient Paul Ince. Au début on ne comprenait pas bien, on croyait qu'ils l'appelaient “Police”.» L'avocat général Stéphane Cantero (…) se lève et, sans crier gare interpelle la mère de l'accusé: «Un témoin, qui sera entendu, a prétendu que vous aviez participé à une partouze avec votre mari. Est-ce exact?» Mme Legrand se trouble, regarde à gauche et à droite, les jurés la scrutent, dans sa vieille parka beige, avec un amusement bienveillant. L'avocat général: «C'est quand on a des relations sexuelles à plusieurs.» Mme Legrand: « Maintenant, je le sais. Mais jamais j'y aurais été, ni mon mari, on n'a pas été élevés comme ça. »

Terrorisée, la mère ne comprend pas la question du "magistrat". Le terme de "partouze" lui est inconnu.

Reliquaire du corps de saint Thomas d'Aquin. Toulouse, église de Jacobins


Elle vient donc devant le tribunal chargé de l'ordre public pour apprendre de la bouche d'un "magistrat" ce que signifie un terme d'argot désignant des pratiques de débauche alors qu'on l'accuse d'avoir fait fortune sur des pratiques de débauche (elle qui n'a pas le sou).

Ils ont déjà détruit la famille Legrand, mais le travail n'était pas totalement satisfaisant. Ils recommencent en 2015 !

19.5.15

Nürnberg condamné par le droit naturel


Lu dans le Compendium de doctrine sociale:
« 404 L'activité des structures chargées d'établir la responsabilité pénale, qui est toujours à caractère personnel, doit tendre à la recherche rigoureuse de la vérité et doit être menée dans le plein respect de la dignité et des droits de la personne humaine: il s'agit de garantir les droits du coupable comme ceux de l'innocent. Il faut toujours avoir présent à l'esprit le principe juridique général selon lequel on ne peut pas infliger une peine avant d'avoir prouvé le délit. (…) » (Les italiques sont de moi.)





Cette doctrine, qui n'est que la transcription du droit naturel, condamne le statut de Nürnberg (article 10). Statut admet comme preuve des éléments qui ne sont pas des preuves (par exemple des rapports, même ceux émanant de l'État dont dépendaient les accusés, ne sont pas des preuve. Ils ne sont que des récits de récits).

La condamnation pénale des personnes morales (voir les articles 121-1 et 121-2 du code pénal, parfaitement contradictoires entre eux), aujourd'hui insérée dans le droit positif français post Nürnberg, contredit cet élément fondamental du droit des nations civilisées et plus généralement des droits universels de l'homme qui est la présomption d'innocence universelle, la personnalité des délits et des peines.

Monsieur Cohen dénonce une loi israélienne et une « fatwa » rabbinique




À partir de 20'. Monsieur Cohen dénonce une « fatwa » rabbinique. Cette ordonnance religieuse interdit aux fidèles juifs de vendre leurs biens immobiliers à des non-juifs. Il ne dit pas si des rabbins refusent de signer cette « fatwa », voire la dénoncent. Il aurait été intéressant de le savoir. En tous cas, on ne voit pas de quelle autorité se prévalent ces rabbins pour interférer dans la vie privée de ceux qui veulent leur faire confiance.

Il dénonce aussi une loi (une « loi », dirait-on plus justement) israélienne qui autorise les petites municipalités à interdire à des non-juifs de venir s'installer dans leur village.

Dommage qu'il ne fasse pas référence aux droits de l'homme à l'égalité des êtres humains. En l'occurrence ces "lois" religieuses ou civiles bafouent la liberté du commerce et la liberté humaine tout simplement. Notons d'ailleurs qu'elles atteignent autant sinon surtout les juifs. Car c'est d'eux qu'on bafoue la liberté.

Reprenons conscience de l'universelle fraternité humaine et de l'universelle égalité des êtres humains.

Sous réserve du respect de la culture du pays d'accueil et de se comporter loyalement il existe une liberté d'installation universelle.

18.5.15

La vie dans les camps de concentration selon monsieur Reynouard



On constate en visionnant sa vidéo qu'accuser monsieur Reynouard de banaliser la vie dans les camps est pure calomnie.

Monsieur Reynouard confirme l'horreur des camps nationaux-socialistes en citant quelques témoignages. Les faits dénoncés par ces témoignages condamnent non seulement les auteurs directs, mais encore et surtout les autorités qui les ont laissés se produire. C'est bien l'anarchie nationale-socialiste.

Voilà où ont conduit la négation, des droits universels de l'homme.

Toutefois, ces faits restaient inconnus du public. Pas plus qu'aujourd'hui le public n'est informé des événements se déroulant dans les prisons. Donc pas plus que les crimes et parfois les homicides qui se produisent en prison ne peuvent être imputés à l'ensemble des Français de 2015, les crimes commis dans les camps de concentration ne peuvent être imputés à l'ensemble des peuples allemand et français.

Noter également (fin de la vidéo) que des SS participèrent à des évasions comme complices... Selon Himmler dans son discours de Posen, des SS s'opposèrent à la déportation des Juifs et le payèrent de leurs vies.

Or la SS est condamnée comme "organisation criminelle" par le Tribunal de Nürnberg, ce qui fait de tout SS un coupable. On mesure ici la barbarie de la condamnation pénale des personnes morales.

Cui prodest ? L'affaire Kerviel



L'affaire Kerviel revient sur le devant de la scène: un témoignage confirme que la hiérarchie de la Société générale savait les engagements fous de monsieur Kerviel.

Figurine révolutionnaire. Musée de la Révolution, Vizille
Noter que ce témoignage aurait dû rester secret durant l'instruction qui reste en cour. En le publiant, on avertit les personnes mises en cause ou susceptibles d'être mises en cause. Une façon de saboter le dossier.

Ceux qui ont profité directement des agissements de monsieur Kerviel ne sont pas dans la banque, mais hors de la banque. Ceux qui en ont profité indirectement (pour un enrichissement personnel) sont dans la banque ("récompenses" pour avoir fermé les yeux).

La "justice" ne s'est apparemment pas intéressée qu'à un petit personnage en le condamnant à des milliards de dommages-intérêts (condamnation finalement rapportée) et surtout à de la prison. Elle a accepté de se ridiculiser en présentant Kerviel comme l'auteur principal de ce qui ne peut être qu'une escroquerie. Les auteurs-bénéficiaires de ces infractions sont restés inconnus du public à ce jour.

Cette affaire est à rapprocher de l'affaire des amendes infligées unilatéralement par les USA contre les plus importantes banques françaises et les préssions contre la SNCF, toujours aux États-Unis, pour avoir été réquisitionnée pour la déportation de plusieurs milliers de juifs de France.

Cela confirme bien que les USA font la guerre à la France, ici en la spoliant. Une affaire de plusieurs milliards d'euros (comme l'affaire des navires qui devaient être livrés à la Russie) affaiblissent la nation française.

J'ai déjà écrit sur l'affaire Kerviel.

Gare à ceux qui s'intéressent à la "loi" Gayssot !




À 2' 05" partir de 2' 05". Monsieur Cohen  raconte une anecdote très intéressante:

« Un jour j'ai entendu sur Radio Courtoisie un prof de droit, un agrégé de droit... En 1990... il était encore en... Il préparait son concours d'agrégation. Il a raconté la chose suivante...  En 1990 il a voulu écrire un article sur la loi Gayssot... Pour critiquer... en termes juridiques. Voilà. Et son directeur de thèse lui a dit: « 
« - Tu veux faire une carrière en France dans les facultés ?
« - Oui.
« - Laisse tomber ! » » 

On suppose donc qu'il a "laissé tomber" car il est maintenant agrégé de droit. Il voulait pourtant sans doute écrire un article de technique juridique, laquelle technique est toujours en relation avec la morale universelle commune. Il ne voulait pas écrire un article polémique ou historique.

La « loi » Gayssot est en effet un monstre juridique et moral. La jurisprudence qui l'interprète aggrave cette monstruosité. La critique morale et juridique est donc nécessaire.

Plus profondément, la loi Gayssot protège l'ordre public de Nürnberg lequel, en 2015, est au centre de la vie sociale universelle. L'ordre public de Nürnberg est un ordre immoral, opposé à la libre recherche de la vérité, inégalitaire, opposé à la présomption d'innocence, à la fraternité universelle. Il est pourtant avalisé par le haut clergé catholique...

Ceux qui ont une culture suffisante pour critiquer cet ordre public sont-ils moralement autorisés à se taire ? Je pense que non.

17.5.15

Valeur du Saint Suaire comme preuve de la mort et de la résurrection du Christ





http://gloria.tv/media/AVrmSTeMh2W/connection/mobile

L'insertion ne marche pas, je ne donne que le lien e.mail et mon twit de Twitter.

(Via le Salon beige )

D'autre part, l'image donnée par saint Jean est une hyperbole (figure de rhétorique) de style oriental. Exemple: j'ai attendu 107 ans.

J'ajouterais que si le Saint-Suaire n'est pas une preuve de foi, c'est une preuve pour la raison. Il y a des choses que nous croyons parce que Dieu nous les a révélées. D'autre nous les croyons parce que ce sont des conclusions nécessaires de la raison. Le Saint-Suaire parle à notre raison.

Extension de la définition d'un terme par le juge pénal. Cas de monsieur Reynouard. Conséquences



À partir de 13' environ.

Contester, c'est contester, c'est-à-dire mettre en doute. La "loi" Gayssot oblige à s'abstenir de contester. Elle n'oblige pas à confesser. Laisser la responsabilité de leurs déclarations affirmatives à ceux qui les émettent n'est pas contester, c'est ne pas affirmer. C'est se taire. Ce qui est licite.

Si je dis "Dieu n'existe pas." Je conteste l'existence de Dieu. Si je dis "la plupart des hommes affirment l'existence de Dieu", vous ne saurez rien de mon opinion. Je n'ai pas contesté l'existence de Dieu. Je ne l'ai pas affirmée non plus. Je n'ai pas énoncé mon opinion.

Étendre au de-là de sa très stricte définition le sens d'un terme inséré dans la définition d'un délit est une faute très grave pour un juge. Par cette prévarication, il condamne une attitude légitime ou qui du moins n'entre pas dans les prévisions de la loi pénale. C'est en conséquence l'infliction d'une peine sans titre. C'est un crime au moins moralement et ce sont des délits juridiquement: articles 431-1l, 432-4, 432-5 du code pénal.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719

15.5.15

La colère

Le professeur Doucet, professeur de droit pénal, dont le site est un trésor, propose une collection de citations sur la notion de « colère ».

En voici des extraits: 
« Règle de St Benoît (Chap. 4 - Quels sont les instruments pour bien agir ?). N°22 : Ne pas agir sous le coup de la colère.
(…) Thomas d’Aquin (Somme théologique) : La colère désigne proprement une passion. Or une passion est bonne pour autant qu'elle est réglée par la raison ; mais si elle exclut l'ordre de la raison, elle est mauvaise... L'ordre de la raison, en ce qui concerne la colère se rapporte notamment à la mesure à garder dans la colère, en sorte par exemple que la colère ne s'enflamme pas de manière immodérée, ni intérieurement ni extérieurement.
Philosophie Pufendorf (Le droit de la nature) : La Colère est la plus violente et en même temps la plus pernicieuse de toutes les Passions. Bien loin d'être d'un grand secours à la Valeur et à la Fermeté dans les périls, comme on se l'imagine ordinairement, elle ne fait qu'aveugler et mettre hors d'eux-mêmes ceux qui s'y abandonnent. C'est une courte fureur, et par conséquent un mauvais conseiller en toutes choses. Elle porte souvent à des actions dont on est ensuite obligé de se repentir.
(…)
Stelzenberger (Précis de morale chrétienne) : La colère est la marque d’une déception qu’on ressent en soi et qui éclate à l’extérieur. C’est une révolte et une protestation contre quelqu’un ou quelque chose qui offense la norme, ce qui devrait être, ou de qu’on croit devoir être. La colère est consciente. (…) »

Musée de la Révolution, Vizille. Selon moi, image du Christ sous forme de roue solaire, avec le bleu de la foi, le blanc de l'espérance et le rouge de la charité ou fraternité


Donc dans ses manifestations la colère est mauvaise ; mais elle peut avoir des causes justifiées.

Gardons-nous de la colère, même dans ses effets les moins graves comme la simple bouderie ou l'impolitesse. Gardons-nous de la colère, même justifiée.




Je complète la liste du Pr. par deux citations.

D'abord une citation comique mais pleine d'enseignements. Il s'agit de Molière dans L'École des femmes.

Arnolphe vieil amoureux de la jeune Agnès, s'est mis en colère intérieurement contre elle à la suite d'un entretien. De sa colère il n'a rien montré à Agnès.

« Un certain Grec disait à l’empereur Auguste,
Comme une instruction utile autant que juste,
Que lorsqu’une aventure en colère nous met,
Nous devons, avant tout, dire notre alphabet,
Afin que dans ce temps la bile se tempère,
Et qu’on ne fasse rien que l’on ne doive faire.
J’ai suivi sa leçon sur le sujet d’Agnès, »


Le contraste entre l'emphase et le ridicule de la situation entraîne l'effet comique. Le lecteur me pardonnera de m'aventurer dans le comique pour un sujet si grave. Le comique corrige les mœurs. Castigare ridendo mores: corriger les mœurs par le rire.

La colère est donc souvent nuisible à nous-même, ne serait-ce que parce qu'elle nous éloigne de la société.

Beaucoup plus grave, la colère est qualifiée de faute morale très grave par le Christ Lui-même. C'est le cas lorsqu'elle est dirigée contre un frère (ou une sœur qui est un frère comme un autre) et apparemment même lorsqu'elle reste intérieure. À mon avis, même la colère contre soi-même, qui peut conduire au suicide, est condamnée.

Voici donc cette citation du Christ tirée du Catéchisme de l'Église catholique:

« Tu ne commettras pas de meurtre (Ex 20, 13).
Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens : " Tu ne tueras pas. Celui qui tuera sera passible du jugement. " Et moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère sera passible du jugement (Mt 5, 21-22). »
La porte claquée (légende de fantaisie)


Jésus va à la racine. D'une simple menace pénale juridique (répression légale très sévère de la colère dans ses conséquences ultimes), il passe à la morale sociale et individuelle. Il nous conjure avec menaces d'aller jusqu'à la racine du mal... jusqu'au fond de notre cœur pour y arracher toute trace de colère.

Luttons-donc contre la colère, même justifiée. La colère peut jouer de très mauvais tours à celui qui s'y livre. C'est une passion qui, une fois calmée, nous fera encore souffrir par ses conséquences.

En prendre conscience, c'est déjà un pas de fait vers son élimination.

14.5.15

Vincent Reynouard commente "son" jugement du 7 mai 2015



Il est possible que monsieur Reynouard interjette appel de ce jugement.

Merci monsieur Reynouard de votre témoignage. Le cœur du problème judiciaire, c'est que les magistrats sont malhonnêtes, donc parjures. Ils ont une interprétation extensive de la loi pénale, ce qui en fait des criminels.

Les digues sont rompues. L'égout nous submerge. L'incohérence du droit est au cœur du système juridique de 1943-1945. Une force brutale et hypocrite, cyniquement hypocrite, chose inouïe au vu des progrès concomitant du droit en d'autres matières, préside à un ordre public frelaté. Quels résultats funestes en attendre ? Je ne sais pas. Qui vivra verra. En attendant elle produit sous nos yeux un recul de la civilisation et de la culture et étend tous les jours ses effets  tel un cancer. Elle détruit l'ordre public, comme aucun gangster, aucune Mafia n'auraient jamais pu le faire.

Notre espoir: un ordre nouveau fondé sur les authentiques droits de l'homme.

Reste à savoir, problème concret, si la discussion avec l'appareil judiciaire est encore de quelque utilité ? Je finis par croire que non. Ce ne semblent être que pertes d'argent et de temps. Les motivations de ces jugements ne sont intéressantes qu'en ce qu'elles dénoncent, par la réflexion sur leur existence, un système de pensée corrompu et d'une radicale brutalité. Elles n'édifient en rien. Terrible constat pour une institution chargée spécialement d'édifier un corps social vertueux au service de la vérité et du droit ! Peut-être interjèterez-vous appel ?

Enfin le tribunal ne semble pas caractériser l'élément matériel, du moins dans les extraits qu'en donne monsieur Reynouard. Car à aucun moment il n'invoque une décision judiciaire de condamnation et encore moins une disposition précise de ces décisions judiciaires.

L'article 24bis prévoit en effet la condamnation de ceux qui auront contesté les crimes

« qui ont été commis soit par les membres d'une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale. »

Encore faudrait-il pour donner l'élément légal qu'il énonce les crimes "qui ont été commis". Sans énonciation des crimes et des textes officiels du jugement de Nürnberg, on ne sait même pas quels crimes sont incontestables !

Il faudrait énoncer les crimes et, puis pour établir l'élément matériel confronter cette liste avec les déclarations (élément matériel du prétendu délit) du prévenu.

C'est du pur arbitraire. Comment, en raison de la qualité des auteurs et de l'autorité du texte, concevoir une violation plus radicale des droits de l'homme ?

Ascension 2015

Extrait du site Introibo:

Ant. ad Introitum. Act. 1, 11.
Introït
Viri Galilǽi, quid admirámini aspiciéntes in cælum ? allelúia : quemádmodum vidístis eum ascendéntem in cælum, ita véniet, allelúia, allelúia, allelúia.Hommes de Galilée, pourquoi vous étonnez-vous en regardant le ciel ? Alléluia. De la même manière que vous l’avez vu monter au ciel, il reviendra, alléluia, alléluia, alléluia.
Ps. 46, 2.
Omnes gentes, pláudite mánibus : iubiláte Deo in voce exsultatiónis.Nations, frappez toutes des mains ; célébrez Dieu par des cris d’allégresse.
V/.Glória Patri.
Oratio.Collecte
Concéde, quǽsumus, omnípotens Deus : ut, qui hodiérna die Unigénitum tuum, Redemptórem nostrum, ad cælos ascendísse crédimus ; ipsi quoque mente in cæléstibus habitémus. Per eúndem Dóminum.Nous vous en supplions, ô Dieu tout-puissant, faites-nous cette grâce : nous qui croyons que votre Fils unique, notre Rédempteur, est aujourd’hui monté aux cieux ; que nous habitions aussi nous-mêmes en esprit dans les demeures célestes.

S'il reviendra et sera donc visible sur la terre "de la même manière", il faut bien, selon moi, qu'il soit dans un lieu. Si son corps s'était dissout dans le Ciel qui ne serait pas un "lieu", alors il ne pourrait revenir "de la même manière".

Pour moi, sous réserve du jugement de l'Église, le Ciel est donc bien un lieu, même si, évidemment, le mot peut aussi désigner d'autres réalités.


« C’est avec raison que ces paroles ‘Notre Père qui es aux cieux’ s’entendent du cœur des justes, où Dieu habite comme dans son temple. Par là aussi celui qui prie désirera voir résider en lui Celui qu’il invoque (S. Augustin, serm. Dom. 2, 5, 17 : PL 34, 1277).
Les " cieux " pourraient bien être aussi ceux qui portent l’image du monde céleste, et en qui Dieu habite et se promène (S. Cyrille de Jérusalem, catech. myst. 5, 11 : PG 33, 1117B). »

Ces vérités ne s'excluent pas l'une l'autre.

Installation de la médina en France et viol des droits de l'homme par le gouvernement



(Via François Desouche)

Le problème est qu'on ne peut nommer les problèmes. Or le problème, c'est la médina.

J'ai déjà relevé sur mon blog la déclaration de Mgr Cattenoz sur la prise en main de quartiers par des gens "de religion musulmane".

J'ai aussi relevé ce que disait Oriana Fallaci  sur la médina.

Mgr Marcel Lefebvre qui avait vécu en terre d'islam dénonçait lui aussi le phénomène de la médina.

Notons qu'à chaque fois, ces personnes Mgr Lefebvre, O. Fallaci et Mgr Cattenoz,  furent attaquées par les journaux officieux, voire poursuivies et condamnées par les tribunaux (O. Fallaci s'était réfugiée aux États Unis pour ne pas être incarcérée).

Récemment encore Manuel Valls attaquait tous les Français, les accusant du crime "d'apartheid" (crime contre l'humanité imprescriptible) alors que cette affaire démontre que ce sont eux qui sont chassés de chez eux. Cette inversion accusatoire dénonce le viol de la liberté d'expression et de la liberté d'installation et du droit à la vérité par le gouvernement.

L'islamophobie, concept contre les droits de l'homme




J'ai déjà posté sur le sujet de l'"islamophobie".

La véritable notion-clé est celle de liberté religieuse, de droits fondamentaux et universels de l'homme. Or dans ce cadre tout homme peut critiquer rationnellement une croyance, même la sienne.

La notion d'islamophobie selon monsieur Cohen s'est "imposée". Selon lui, il n'y aurait plus de discussion possible. C'est oublier que les droits de l'homme, nés avec l'homme, sont intemporels. La notion d'islamophobie, si elle s'est imposée, doit maintenant être bannie et interdite comme contraire à un droit fondamental de l'homme. Il en est d'ailleurs de même de la notion moins répandue de christianophobie. Tout homme peut critiquer rationnellement  (critiquer n'est pas insulter ou moquer) toute croyance.

De la même façon on peut critiquer un comportement. La notion de homophobie tend à bafouer les libertés de pensée et d'expression.

13.5.15

Au Canada, comme en France, le silence face à l'agression judiciaire (Cas de Mary Wagner)

Madame Mary Wagner est une militante anti-avortement poursuivie, ès qualité, par la "justice" de son pays.

« Comme lors de ses autres procès, Mary Wagner est resté silencieuse pendant toute la durée des audiences. Le procureur a accusé Mary Wagner d’imposer « ses opinions religieuses aux autres en leur causant des souffrances » car la condamnée est une chrétienne de confession catholique. Le procureur lui a aussi reproché de ne pas se soumettre aux décisions de justice et a exprimé l’espoir que « un jour, un tribunal délivrera une sentence qui changera les convictions de Mary Wagner ». »



D'abord ce ne sont pas des "opinions religieuses" mais des données de la raison universelle de l'homme. Il n'existe aucun droit de l'homme à tuer un autre homme. (Et dans cette acception, nous savons que les femmes sont des hommes comme les autres.)

L'imprudent "magistrat" canadien ne s'est même pas aperçu, tellement il est inculte, qu'il bafouait ouvertement la liberté de conscience. Cela te regarde-t-il, racaille judiciaire, ce que pense madame Wagner ? En tous cas moi je peux te dire ce que je pense de toi. Je pense que tu es un imbécile doublé d'un salaud. Apprends-le, les pensées de madame Wagner ne regardent que Dieu, sombre abruti.

En attendant, elle a bien raison madame Wagner de garder le silence devant les bêtes féroces de la magistrature. Comme le disait (à peu près) Audiard: "Je ne parle pas aux imbéciles." Monsieur Vincent Reynouard a, lui aussi, décidé de ne plus parler aux magistrats.

Comment la racaille judiciaire m'a spolié des souvenirs de ma fille morte

J'ai déjà consacré plusieurs posts à l'affaire de ma fille Hélène Merlin-Poudré. En voici un autre.

Lorsque, "mon" avocat ne voulant pas plaider pour moi, j'ai dû faire mille kilomètres (aller) pour plaider ma cause devant la racaille judiciaire décorée. Le président ouvrit l'audience en tentant de m'intimider.



Hélène


Il se mit à parcourir le "par ces motifs" pour trouver une demande ridicule qu'il pourrait exposer en public. N'en trouvant pas, il se mit à lire la demande concernant la chienne de ma fille. Cette chienne de race et de grand prix n'apparaissait pas sur la liste succincte établie par le notaire (il n'y a pas eu d'inventaire). Je savais qu'Hélène avait acheté une chienne en vue de lui faire avoir des petits pour les vendre. La chienne se trouvait dans le jardin au moment du mystérieux incendie. Cette chienne, (à la différence de la chatte, morte avec Ferdinand dans la même chambre) avait, elle, eu la vie sauve.
Ferdinand 

La racaille judiciaire décorée énonça donc la demande concernant la chienne pour tenter de ridiculiser le père de la femme morte dans l'incendie. Un gros délicat, le décoré de la Légion d'honneur ! Il espérait ainsi prendre à témoin la salle pour que je subisse une bronca. Manque de chance pour lui, cela ne se produisit pas et il en fut pour ses frais. Mon avocat-traitre était derrière moi (sans que je lui ai demandé quoi que ce soit. J'aurais préféré qu'il ne soit pas présent). Je répondis du tac au tac que la chienne était une chienne de prix, comme il y a des animaux de prix et que de plus les petits des animaux accroissent les biens des propriétaires indivis (code civil article 547). Cela ferma la bouche de ce vaurien décoré.

L'inventaire est un instrument de preuve où les parties signent et évaluent sous leur responsabilité en déclarant in fine qu'il n'existe pas, à leur connaissance, d'autres biens à partager. C'est le document central du partage. La prétention de l'ordure décorée à me faire produire des preuves était donc odieuse et fantaisiste. Nous étions en matière de partage où tout le monde est en même temps, en défense et en demande.  Il le savait le salopard, mais il faisait semblant de ne pas le savoir.

Ferdinand


Lorsque vint le moment de plaider, étant appelant j'avais la parole en premier. Je fis en deux minutes chrono un résumé de la situation générale. Lorsque je m'apprêtais à entrer dans le vif du sujet, et à plaider succinctement, l'avocat adverse m'interrompit immédiatement (plan concerté avec le Président ? probable). Alors que je n'avais pas même abordé la question de la valeur de la maison, donc de l'expertise, l'avocat-voyou m'apostropha sous le regard approbateur de la racaille décorée. Il me dit, mentant effrontément, donc se parjurant par la même occasion, qu'il y avait déjà eu une expertise. Je lui répondis donc "Vous mentez !". Ce qui était vrai.

Aussitôt la racaille décorée, qui n'attendait que cela, parce qu'elle savait qu'elle aussi se parjurait, m'intima l'ordre de me taire (procédé malhonnête par lequel elle espérait que personne ne puisse plus constater sa partialité effrontée). Je sortis un moment pour reprendre mes esprits devant l'agression odieuse dont je venais d'être victime de la part du magistrat. Lorsque je revins, trois minutes plus tard, l'avocat menteur, diffamateur et malhonnête finissait sa plaidoirie.

Je me précipitais, seul, vers ma voiture pour refaire en sens inverse mon voyage de 1 000 km.

Voilà comment en 2014, le monde judiciaire traite un père dont la fille et le petit-fils sont morts dans un incendie suspect !

Ferdinand


Sans surprise l'arrêt des racailles judiciaires me déboutait de toutes mes demandes sans même les examiner et, « caca fumant » sur le tas d'ordures, il me condamnait à une amende de 800 € pour recours abusif !

J'ai vécu pendant des dizaines d'années dans le monde judiciaire (clerc d'huissier, clerc d'avoué, puis avocat), je n'ai pris que tardivement conscience que ce monde est, sauf très rares exceptions, un monde de voyous.

11.5.15

Insultes et distinctions spécieuses

Selon le site « Boulevard Voltaire » (quel titre horrible !), madame Taubira tient à pouvoir agresser les Français blancs par une distinction spécieuse et des insultes:

« Christiane Taubira, qui accompagne le président dans tout son périple, a, quant à elle, critiqué la confusion entre « l’esclavage historique » et l’esclavage moderne faisant notamment valoir que le premier était « codifié, régulé » alors que le second n’est « pas un système autorisé ». Pour la Garde des sceaux, « on doit combattre l’esclavage aujourd’hui, mais la confusion est mauvaise conseillère et en plus elle est l’apanage des imbéciles ». 

Si l'esclavage était « codifié, régulé », cela vaut quand même mieux que l'esclavage sans règle.

Par exemple l'article 26 du code noir prescrivait:

« Article 26
Les esclaves qui ne seront point nourris, vêtus et entretenus par leurs maîtres, selon que nous l'avons ordonné par ces présentes, pourront en donner avis à notre procureur général et mettre leurs mémoires entre ses mains, sur lesquels et même d'office, si les avis viennent d'ailleurs, les maîtres seront poursuivis à sa requête et sans frais; ce que nous voulons être observé pour les crimes et traitements barbares et inhumains des maîtres envers leurs esclaves. 

Article 27
Les esclaves infirmes par vieillesse, maladie ou autrement, soit que la maladie soit incurable ou non, seront nourris et entretenus par leurs maîtres, et, en cas qu'ils eussent abandonnés, lesdits esclaves seront adjugés à l'hôpital, auquel les maîtres seront condamnés de payer 6 sols par chacun jour, pour la nourriture et l'entretien de chacun esclave. »



Il est pervers de qualifier de méchanceté un certain adoucissement. Il est évident que ce "code noir" n'interdisait pas d'être plus humain, il interdisait seulement d'être moins humain. L'affranchissement était possible et il était pratiqué, il était même de plein droit dans certains cas (mère libre).

D'autre part, en Guadeloupe l'esclavage fut aboli en 1795. Il ne fut pas "rétabli par Napoléon". La traite fut interdite au congrès Vienne (1815).

Madame Taubira fait un procès aux Blancs sur une pratique qui a disparu depuis 220 ans, soient 9 ou 10 générations, alors que cette pratique de l'esclavage ne fut le partage que d'une infime minorité d'Européens.

Nous payons aujourd'hui la désobéissance des Bourbons au pape.

D'autre part l'esclave de 2015 qui est esclave en application de la chariah (ce n'est pas une règle la chariah ?) se moque bien de savoir si son esclavage est ou non "régulé". En un sens il préfèrerait qu'il le soit.

C'est cauchemardesque. Ce gouvernement est un cauchemar.

Quand les magistrats invoquent la laïcité... pour la violer






La position du tribunal administratif est incohérente: le tribunal s'érige en policier de la pensée au nom de la liberté de pensée. Sont-ils des théologiens nos magistrats qui émargent sur le budget de tous pour décider ce qui est religieux et ce qui ne l'est pas ? Jean-Paul II n'est-il pas aussi un philosophe et un personnage politique ?

Comme je l'ai déjà écrit sur ce blog, la laïcité c'est ne pas enseigner une foi. Mais un laïc peut confesser une foi dans la mesure où celle-ci respecte l'ordre public.

Donc, une municipalité peut confesser la foi catholique, dire son admiration pour une personnalité éventuellement catholique et ériger une statue d'une personnalité sans que le tribunal puisse venir contrôler ses mobiles. Vive la liberté religieuse ! Bas les pattes, magistrats français !

9.5.15

Quand monsieur Reynouard diffuse le cinéma




Il est dommage que MM. Bourbon et Reynouard n'examinent pas l'hypothèse, selon laquelle tout cela ne serait pas que du théâtre. Aussi bien sur la prétendue rupture entre Le Pen père avec Le Pen fille que le cinéma contre Ménard, lui-même parfaitement conscient de ce que ses déclarations allaient provoquer (il le dit lui-même lors de sa fameuse déclaration). Ça lui fait une belle pub.

Je suis persuadé que l'on nous joue une comédie comme on nous a joué une tragédie avec la mise au pouvoir de Adolph Hitler en 1933 par les Américains.

Dommage que monsieur Reynouard, si bien informé par ailleurs, diffuse, lui aussi, ce cinéma.

Les grands absents de ces débats sont la justice et les droits de l'homme.

8.5.15

Selon Vincent Reynouard: les camps de concentration furent un épisode horrible



Les tribunaux français, dont on connaît la valeur morale, prétendent que monsieur Reynouard serait "négationniste. Ce n'est pas si simple lorsque l'on regarde cette vidéo très instructive. Il est finalement très critique pour le national-socalisme.

Certes, monsieur Reynouard reste muet sur l'absence de tout lieu de culte dans les camps de concentration nationaux-socialiste. Car à l'imitation de l'Union soviétique, l'Allemagne nationale-socialise était hostile à toute forme de religion. Moi qui suis croyant, je ne peux pas ne pas noter que cette absence de lieu de culte ne favorisa pas la vie des détenus.

En fait de "négationniste", monsieur Reynouard démontre que le national-socialisme fut un drame pour l'Allemagne y compris, évidemment pour les juifs allemands et européens. (À ce propos, il ne nie pas que les USA aient financé l'accession des nationaux- socialistes au pouvoir. Il nie seulement que cela fût l'étape d'un plan de destruction de l'Europe. Je ne pense pas, quant à moi, que quelqu'un de raisonnable puisse dépenser de très fortes sommes sans avoir un plan, autrement dit sans savoir dans quel but il dépense son argent. Pour moi, le but était pervers: humilier afin de dominer l'Allemagne et, en l'Allemagne, l'ensemble des Européens).

De cette vidéo je pense pouvoir déduire (provisoirement et sous réserve de plus amples études) que le "Führerprinzip" était impraticable. Paradoxalement, il semblait, à première vue, favoriser la démission et la pagaïe. Au contraire, une véritable démocratie (pas ce que nous vivons aujourd'hui en France) favorise la multitude des conseils et limite les possibilités d'erreurs politiques.

On sent également que ce fameux "Führerprinzip" et le racisme favorisèrent des horreurs comme la remise de l'autorité à la racaille allemande et à la Mafia allemande (toute nation sécrète sa Mafia).

Complètement dépassé par ce qui lui arrivait, manipulé, le peuple allemand, dont une grande partie s'opposa jusqu'au sang au national-socialisme, fut crucifié par les nationaux-socialistes et par les autres ennemis du peuple allemand. Je rappelle que dans son discours de Posen Himmler fait allusion à des exécutions de SS. Les fanatiques avaient passé ces SS par les armes parce qu'ils s'étaient opposés à la déportation des juifs. Si des SS s'opposèrent à cette déportation jusqu'à donner leurs vies, combien plus ceux des Allemands, les plus nombreux, qui n'avaient pas prêté serment à Adolph Hitler ! (Voir sur mon blog mes commentaires sur le discours de Posen).

Je rappelle également que le seul pays qui offrit aux réfugiés juifs de les recueillir en masse fut... l'Italie. J'en ai parlé sur mon blog, document historique à l'appui.

La crucifixion de l'Europe continue en 2015...

Retour sur les circonstances de la mort d'Hélène Merlin-Poudré

Hélène Poudré née Merlin est morte vers 9 heures 30 le 30 avril 2008 dans l'incendie de sa maison.

Le dossier de police, très succinct, ne comprend qu'une expertise-incendie qui donne deux possibilités de départ de feu. La première est une surchauffe électrique. Mais le 30 avril, au Cellier, il faisait beau et il n'y avait pas de chauffage.



La deuxième hypothèse est la projection d'une escarbille du foyer sous le canapé. Il s'agirait dès lors d'un feu de matelas. Le feu de matelas couve longtemps "sans rien dire". Puis, il éclate d'un coup. C'est un feu traitre, sournois. Il émet du monoxyde de carbone pendant longtemps sans flamme. D'où je pense que Ferdinand, le fils d'Hélène, est mort bien avant sa mère (Hélène était enfermée dans la salle de bain alors que son fils était sur le lit conjugal, porte ouverte).

Quand Hélène était petite, nous n'avions pas de cheminée à la maison et nous ne faisions jamais de feu. Hélène ne s'occupait pas du feu.

Qui donc s'occupait du feu dans la maison d'Hélène ?

Son mari, ingénieur chimiste, rapportait du bois de palette de son entreprise pour le faire brûler dans la cheminée. Il l'avait fait la veille au soir. On ne sait ce qu'il avait fait le matin du drame. Le bois de palette brûle en projetant de nombreuses escarbilles. Il crépite, il éclate. Le pare-feu fut retrouvé par la police au milieu du salon. Tiens, tiens. Ha ! oui, en fait on ne sait si ce sont les pompiers qui auraient mis le pare-feu au milieu du salon (mais pourquoi donc auraient-ils mis le pare-feu au milieu du salon ?) ou si c'est une main éventuellement criminelle ?



Les enquêteurs ne sont pas allés au fond des choses. Pensez ! Des catholiques intégristes ! Pas besoin de mener une enquête approfondie ! C'était la faute à pas de chance. Ils s'aimaient tant ! Mais bien sûr ! Ils s'aimaient tant ? En êtes-vous si sûrs, enquêteurs ?



Il est inutile de demander à la racaille judiciaire et décorée de mener une enquête. Je vais encore me faire condamner à une amende salée.

J'écris cela en témoignage de mes convictions de père aimant, en souvenir de ma fille et confiant en la justice éternelle, devant Dieu et devant les hommes.

6.5.15

German is bad, dit la CIA


Préalpes du sud.


La marque Germanwings va être effacée dans quelques mois. Cela conforte l'intuition dont je faisais part à mes lecteurs le 2 avril.

German is bad, comme on dit outre-Atlantique.