30.6.13

La valise ou le cercueil



À la suite des croisades, de l'Inquisition, de l'esclavage transatlantique, la Shoah (dont MM. Sarkozy et Chirac ont accusé la France), voici l'Algérie. Le peuple français est un peuple d'ordures (qui de plus n'existent pas). Ce sont nos "chefs" qui nous l'envoient en pleine face.

À partir du moment où nous avons eu la télé...

Cet après midi, au sanctuaire Notre-Dame du Laus, Mgr Di Falco a procédé à 5 ordinations de prêtres. Parmi eux, un homme, un veuf, père de 4 enfants, de 68 ans qui fut médecin-pédiatre pendant 45 ans !

À la radio, il racontait sa vie... Il disait qu'il était issu d'une famille très pieuse de 11 enfants. Très pieuse… jusqu'à ce que la famille fît l'acquisition d'une télévision. À partir de ce moment-là le père se planta devant l'écran pour n'en plus décoller. Il disparut pour ses enfants. Manifestement, le nouveau prêtre en voulait à la téloche.

Encore une manifestation pour l'égalité parentale

La France n'est pas un État de droit. Dans la rue des gens honnêtes et ne troublant en rien l'ordre public sont pourchassés et condamnés comme des gens dangereux (exemple l'affaire Bernard-Buss dans laquelle monsieur Buss est en détention provisoire, comme s'il avait commis de graves délits).

En revanche en cas de non-représentation d'enfants, c'est l'inertie.

Ce n'est qu'un exemple parmi de nombreux autres.

Voici ce qu'a déclaré l'association SOS PAPA à l'issue d'une manifestation, selon Le Figaro :

Cette action, a expliqué l'association, a pour but de "revendiquer le droit à l'égalité parentale en cas de séparation ou de divorce ainsi que le retour de l'Etat de droit au sein des services de l'Etat: gendarmerie nationale, police nationale et bureaux des procureurs de la République". "L'un des principaux reproches que nous faisons aux administrations et à la justice c'est de ne pas faire respecter la loi, en cas de non-présentation d'enfant, pour obstruction au droit de visite d'un père", a expliqué le président de la section Nord-Pas-de-Calais/Picardie, Didier Carton.

"Depuis des années, les commissariats de police refusent que des pères déposent des plaintes pour non-présentation d'enfant, les obligeant à ne faire qu'une simple déclaration sur main courante, qui ne débouche jamais sur rien", a-t-il poursuivi, avec à ses côtés une demi-douzaine d'adhérents venus défendre leurs dossiers.
 
Créée en 1991, "SOS Papa se veut responsable et cherche des arrangements plutôt que des actions et des paroles radicales, mais force est constater que l'Etat ne fait pas son travail", a assuré Carton.


Je peux témoigner qu'à mon époque (époque où mes enfants étaient mineurs), le Procureur prenait les plaintes, mais n'y donnait aucune suite.

Ces agissements judiciaires causent de graves préjudices aux enfants.

Appel d'un avocat aux Veilleurs debout

Voici un extrait particulièrement intéressant de cet article :

« Face à l’omerta médiatique, certains magistrats ne sont pas au courant de ce qu’il se passe en France. Il y en a qui sont de bonne volonté, il ne faut pas croire qu’ils sont tous à la botte du pouvoir. Si vous entourez pacifiquement le palais de justice, ceux qui sont de bonne volonté peuvent prendre conscience que le peuple n’est plus en accord avec le pouvoir. Ils se poseront des questions qu’ils ne se poseront pas s’ils ne vous voient pas massivement entourer le palais de façon pacifique. »

On comprend que les médias officieux respectent l'omerta (la loi du silence) : ils tiennent à leur source de financement.

Je ne pense pas, moi non plus, que tous les magistrats soient "à la botte du pouvoir", ou plutôt qu'ils sont tous marxistes. Seule la majorité l'est. Quelques uns sont honnêtes et appliquent sincèrement la loi. Ils pâtissent de la régression intellectuelle et des brutalités des marxistes.

Les "magistrats" du parquet ne sont pas des juges, ils ne sont même pas de magistrats

Lu sur le Salon beige à propos de l'affaire Dor (médecin retraité poursuivi pour entrave à l'avortement) :

« Quand un médecin français veut faire respecter le serment d'Hyppocrate, les "juges" le condament et l'estiment "bon pour une thérapie" »



Les magistrats du parquet ne sont pas de « juges », ils sont chargés de requérir du tribunal formé de juges. La Cour européenne des droits de l’homme qui n’a pas toujours tort leur refuse le qualificatif d’autorité judiciaire. En effet, les « magistrats » du parquet sont aux ordres du ministre de la « justice ». Leur parole toutefois est libre si leurs écrits doivent correspondre aux instructions données par le ministre.

(J'avais écrit un commentaire plus complet pour le Salon beige, il a été refusé. Il est donc perdu.)

Conseils aux futurs mariés qui veulent vivre libres

Lu dans un commentaire sur la question du mariage (Nouvelles de France) :

« (…) on peut boycotter le mariage civil en se mariant à l’étranger :
http://vosdroits.service-public.fr/F21614.xhtml


C’est faisable même si les deux époux sont français. Il faut juste faire retranscrire l’acte de mariage obtenu dans l’état civil français pour que le mariage soit reconnu en France. Une fois que c’est fait, d’un point de vue juridique, les époux sont exactement dans la même situation que s’ils s’étaient mariés en France (…)


Dans des pays comme la Pologne, le mariage peut être célébré directement à l’église sans "mariage" civil préalable : les papiers nécessaires doivent être prévus d’avance, la signature se fait pendant la cérémonie, et c’est le prêtre qui fait enregistrer l’acte de mariage auprès des autorités.
http://swietapolska.com/news/swpolska2394.html#axzz2XYTb58p1 »

Cette une idée ne peut être mise en œuvre que si l'on a des moyens les moyens financiers de le faire. Dans la plupart des cas, on devra aussi renoncer à avoir toute les familles à la fête (les vieux, les malades, les pauvres, d'autres peut-être… ne pourront se déplacer).

Sous ces réserves, le conseil est très bon. Il n'empêche qu'il faut militer pour l'abrogation des lois Chirac en tout ce qu'elles ont rendu le mariage plus onéreux (par haine sournoise pour l'institution).

29.6.13

Un avocat dénonce les décisions judiciaires politiques

Trouvé grâce à ce tweet 




Voici un extrait de l'article de l'avocat anonyme :

« Nicolas est un prisonnier politique ce qui veut dire que le pouvoir a fait pression sur la justice pour le faire condamner. Ne faites pas pression sur le pouvoir dans l’immédiat ; faites vous simplement connaître de la justice en vous faisant massivement voir aux abords du palais. Et là, vous combattrez vraiment le pouvoir, sur son propre terrain, en affaiblissant la collusion qu’il veut créer avec la justice. »

Lorsque dire "bon courage" vaut 44 heures de garde à vue


La fin du prestige des magistrats révélée par l'affaire Tapie

Un "sondage" (en réalité un vote en ligne) du Figaro sur l'affaire Tapie pose la question suivante : "Pensez-vous que Bernard Tapie soit victime d'un acharnement ?" 60 % des votants répondent : "oui".

Étant observé que monsieur Tapie est un riche homme d'affaire et un personnage antipathique, ce sondage révèle que les citoyens ne font plus confiance en "leur" magistrature.

Retour sur l'adoption du projet contre le mariage à l'Assemblée nationale




Une assemblée non représentative (elle représente environ 20 % de la population) et grassement payée, s'étourdit en scandant avec hystérie "égalité, égalité, égalité..." Ces gens sont en costumes cravates, comme les fonctionnaires et les magistrats.

Cette "loi" contre nature rompt l'égalité puisque les relations homosexuelles ne peuvent engendrer de nouveaux êtres humains et que l'éducation doit comporter un père et une mère. Cette "loi" est une "loi" de mensonge, d'injustice et d'inégalité.

28.6.13

Un commissaire de police contre la loi



Le commissaire de police est hors la loi. Les attroupements sont interdits s'ils troublent l'ordre public (sécurité, tranquillité, hygiène). En dehors de ces cas, ils ne peuvent être dispersés.

L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe contre les violences policières en France




Le gouvernement français fait semblant de n'avoir rien entendu et n'a fait répondre que par la porte-parole du gouvernement que par une fin de non-recevoir.

Le mépris continue et maintenant il s'adresse aux instances internationales chargée de la protection des droits de l'homme.

L'enfer de Fleury-Mérogis




Si Fleury est un "enfer", alors il faut libérer tous les prisonniers jusqu'à ce que la prison ne soit plus un enfer. On souffre en prison, certes, mais il n'est pas normal d'être traité inhumainement ou de façon dégradante. Cela s'applique à tous les humains.

Un prêtre arrêté pour avoir veillé debout ?





Nicolas Bernard-Buss, prisonnier politique

Il est certain que Nicolas en participant au mouvement de lutte pour le mariage naturel a des mobiles désintéressés.

Il n'agit pas par intérêt immédiat mais en vue du bien commun.

Ceux qui nient qu'il soit un détenu politique nient donc l'évidence.

Maître Éolas et la présomption d'innocence

Sur son blog "maître Éolas" consacre un long post à l'affaire Nicolas. Il dit que c'est un "bref" commentaire. En réalité son papier n'est pas bref et ne constitue pas seulement un commentaire.

Cet avocat de gauche voire d'extrême gauche se déchaîne contre Nicolas, il met en lien une vidéo sur laquelle on peut voir une personne en bermuda ou culotte anglaise vieux-rose qu'il décrit comme un « jeune homme en short rose » (colossale finesse). Il prétend savoir que c'est Nicolas. A-t-il des accointances dans la police ? Mais la police, si c'est elle, lui dit-elle la vérité ?

D'autre part, il décrit ainsi ce qui est reproché à Nicolas pour la deuxième affaire :

« Une fois que la manifestation se disperse, un groupe de jeunes se dirige vers les Champs Élysées pour une manifestation impromptue. Parmi eux, Nicolas B. La police a manifestement reçu des instructions très strictes : pas de bordel (sic) sur les Champs. L’Élysée est à deux pas, et le préfet de police garde un mauvais souvenir de débordements de supporters (tu parles !). Les manifestants, pas très discrets, sont rapidement repérés et interpelés sans ménagement pour un contrôle d’identité (à ma connaissance, aucun n’a été placé en garde à vue hormis Nicolas). Voici des images de la manif et des interpellations. »

Or, rien ne prouve sur les images qu'il s'agisse de Nicolas. D'une deuxième part, sur les Champs Élysées, il n'y a eu aucune manifestation, aucun attroupement et en tous cas aucune des trois interpellations (dont deux sommations) formalisées par la loi  1) "obéissance à la loi, dispersez-vous" 2) "première sommation, on va faire usage de la force" et 3) "dernière sommation on va faire usage de la force" (article R431-1 du code pénal). Pour respecter l'esprit de la loi (qui fait partie de l'élément légal en matière répressive) ces trois interpellations doivent être suffisamment espacées dans le temps. Donc pour ces deuxièmes faits reprochés à Nicolas, il n'y a aucune preuve qu'il y participait et surtout que les éléments légaux étaient réunis en ce qui concerne l'attroupement illégal.

Pour le premier événement, d'une dernière part, Nicolas sera rejugé en appel à une date apparemment non fixée. Maître Éolas, en tentant d'identifier Nicolas à une personne en bermuda, désigne donc le prévenu à la répression en fournissant de prétendues preuves.  Maître Éolas, voilà un excellent auxiliaire de la répression dès que la personne poursuivie n'est pas de ses idées.

27.6.13

L'homme libre




L'homme à la fenêtre montre ses mains entravées. Voici un homme libre car parfaitement résigné et joyeux dans l'épreuve injuste qu'il subit du fait des méchants.

Assez de violences policières arbitraires !




La police et la magistrature françaises ont été rappelées à l'ordre dans ces termes par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe : (Résolution 1947 version provisoire)

5. L’Assemblée rappelle que la liberté de réunion et d’association, y compris lors de manifestations non organisées et non autorisées, est un droit essentiel dans une démocratie, garanti par l’article 11 de la Convention européenne des droits de l’homme (STE n° 5), et rappelé de manière constante par la Cour européenne des droits de l’homme dans sa jurisprudence. Toute restriction de ce droit doit être prévue par la loi et être nécessaire dans une société démocratique. Il appartient aux autorités d’assurer l’exercice du droit à la liberté d’expression et de manifestation.


6. C’est pourquoi, face à des manifestations, le rôle des forces de l’ordre est de protéger les droits des manifestants, leur liberté d’association et d’expression, tout en protégeant les autres, ainsi que les biens publics et privés. Aussi est-il essentiel qu’elles puissent s’appuyer sur des normes et lignes directrices, sur instructions d’une hiérarchie responsable.

La magistrature française et la police française fonctionnent au rebours des droits fondamentaux de l'homme.

L'impasse juridique d'Arcangues prouve l'innocence monsieur Bompard

Les maires adjoints sont officiers d'état civil par la loi. Monsieur Bompard ne délègue donc rien. Par le pouvoir qu'il détient de la loi, un maire adjoint (élu au scrutin secret par le conseil municipal) d'Orange a décidé de célébrer un "mariage" homosexuel, alors que le mariage suppose la différence des sexes et la possibilité de rapports sexuels (phallus - vagin). Monsieur Bompard n'a aucun moyen de s'opposer à l'acte contre-nature du maire adjoint.

Le cas d'Arcangues est différent.

Le maire décrit la situation dans une lettre du 25 juin qu'il écrit au ministre de l'Intérieur :

« Mes adjoints sont sur une position similaire à la mienne. Nous sommes donc confrontés à une impasse juridique. »

Le maire précise d'ailleurs que le cas de son conseil municipal est particulier parce qu'aucun adjoint ne veut se déshonorer. Cette phrase est importante pour comprendre la situation.

Il ne sert à rien, ou plus exactement il est injuste et fautif de condamner monsieur Bompard au prétexte de la situation d'Arcangues qui n'ont rien de commun.

Mise à jour du 28 juin 2013 : finalement, il semble qu'un maire-adjoint veuille se déshonorer en "mariant" je ne sais quels individus. L'affaire d'Arcangues est close. Mais elle confirme que monsieur Bompard n'est pour rien dans la "célébration" du "mariage" d'Orange.

Pour le magistrat requérant contre le docteur Dor, la liberté a une limite

Selon le compte rendu du procès pénal tenu contre le docteur Dor, qui s'est tenu hier mercredi, la procureur de la République a insulté le docteur Dor (84 ans) en ces termes :


"Cette liberté d'expression a une limite, c'est le respect d'autrui, rétorque sèchement la procureur. Est-ce que les convictions religieuses doivent tout autoriser ? Non". Elle requiert 8 000 euros d'amende et un mois de prison avec sursis. Avant d'ajouter : "et une petite thérapie ça pourrait vous être utile".

Le respect d'autrui ? Pour ceux qui ne respectent pas la vie de ceux qui ne peuvent parler (mais pensent (1) ? Il n'y a pas de liberté contre la liberté de vivre et il n'y a pas de liberté contre la liberté d'être solidaire avec ceux qui ne peuvent parler. La liberté, dans le fond est illimité parce qu'il n'y a pas de liberté contre la liberté.

(1) À l'origine de l'avortement, il y a cette erreur philosophique qui confond expression de la pensée et pensée. L'expression de la pensée, sa distinction, voire son progrès est le fruit de la culture. Son existence est le fait de l'âme humaine.

Huit ans après, l'affaire d'Outreau ressuscite

Un des acquittés d'Outreau est renvoyé devant une cour d'assise. On aurait pu croire qu'il était poursuivi pour des faits nouveaux. Pas du tout. Il est poursuivi pour des faits antérieurs à sa majorité. Au moment d'Outreau il avait 20 ans. La cour d'assise l'a acquitté pour les fait commis après sa majorité, mais il n'a pas été jugé pour des faits antérieurs à sa majorité.

Il n'a apparemment pas commis d'infraction depuis les instances kafkaïennes d'Outreau.

Mais le Parquet est aux ordres de madame Taubira. La vengeance est un plat qui se mange froid, dit-on...

Lu sur le site d'Europe 1 :


« On a tout dit ! Qu'est-ce qu'on espère avec un nouveau procès ? On espère que la justice condamne celui qu'elle a acquitté il y a huit ans ? Qui va gagner quoi dans cette histoire ?". "Je crois que si l'on a des enseignements à tirer d'Outreau, on doit le faire par des discussions, en avançant sur la loi, sur la manière dont les magistrats peuvent juger ce genre d'affaire" déplore Me Julien Delarue dénonçant une tentative de "refaire la partie dans des conditions kafkaïennes et délirantes". »

Kafka n'aurait pas imaginé cela.